Le sens de la vie

Ce matin, je me suis levée avec un sentiment de gratitude. Je me suis mise à remercier pour toutes les petites choses du quotidien qui existe pour vivre plus facilement; l’électricité, le frigo, le beurre, le pain, le café, etc. j’avais de la gratitude de pouvoir profiter de tout cela et de ne pas être dans un état de guerre, dans la précarité, la maladie et surtout l’esseulement.

C’est important de cultiver des états d’être élevés parce que la pollution psychique est importante par les temps qui courent et la confusion tire vers le bas et beaucoup de gens ne savent pas ce qu’ils leur arrivent. De toutes les manières possibles, il faut trouver à s’élever et trouver la paix à l’intérieur de soi. Dans cette recherche, les expédients ne sont pas une bonne idée, car ils auront l’effet contraire à ce qui est recherché. C’est toujours mieux de miser sur le durable et le solide et de trouver des stratégies santés qui élève notre corps, notre âme et notre esprit. Ces actions vont en même temps nourrir le cœur et la paix. Parce que c’est davantage souhaitable de ressentir des états de joie qui permettent de vibrer haut et d’être souverain chez soi.

Dans cet élan, j’étais en train de lire la préface d’un nouveau livre de Peter Deunov, Le sens de la vie, lumière sur le chemin (1994) et il est dit quelque chose de très important que j’ai voulu transmettre ici :

« La compréhension du sens de la vie c’est ce qu’il y a de plus important pour chaque individu, pour chaque peuple et pour l’humanité considérée comme un être global.

Cette connaissance est essentielle, car c’est sur son fondement que repose et qu’est élaboré toute la vie. Si les fondations d’une maison sont douteuses, c’est l’édifice tout entier qui menace de s’écrouler.

C’est pourquoi le sens de la vie devrait être la première chose que l’enfant apprenne sur la terre, au sein de sa famille et tout au long de son apprentissage de la vie sociale au sein de l’école jusqu’à l’université.

Mais voilà que justement dans les écoles, qui dispensent le savoir officiel, on n’enseigne pas le sens de la vie, mais plutôt le sens de la matière; comment obtenir le succès dans la matière, comment réussir sa vie matérielle.

Bien sûr ce savoir est utile, mais la connaissance du sens de la vie est autre chose; pour s’en approcher, il faut étudier en plus l’âme et l’esprit de l’homme et du cosmos dans ses diverses manifestations. »  Deunov, Peter(1994) Le sens de la vie P :12-13

Et aussi, il y a un passage à la fin du livre qui indique ce qui est précieux dans la vie, je trouve intéressant de la noter pour comprendre comment arriver à ressentir la paix d’esprit.

« Que le pauvre sache quoi faire dans sa pauvreté!

Que le riche sache quoi faire de sa richesse!

Que le savant sache quoi faire de son savoir!

Que le bon se guide d’après sa raison supérieure!

Que l’homme aimant serve son prochain. »P :165-166

« Il n’existe rien de plus précieux, de plus essentiel que cette connaissance du sens de la vie. Elle permet d’éviter bien des détours et des épreuves inutiles.

Rien ne peut véritablement satisfaire la soif de bonheur et de plénitude que l’homme porte en lui à part cette expérience merveilleuse de marcher sur le chemin de la bonne vie. L’âme est alors comblée et l’homme connaît la vraie réussite, la vraie liberté. » (Dernière page)

Ces mots sages font du bien à l’âme par la vibration haute qu’ils émanent et c’est ce que j’avais envie de partager aujourd’hui parce que c’est ce qui m’habitait durant ma randonnée de ski accompagnée de ma fidèle compagne Mika qui était aussi heureuse que moi de retrouver la neige et toute sa magie.

Josée et Mika