Depuis quelques semaines, j’ai les pieds en feu. Ils font incroyablement mal, me font souffrir, et rien n’est arrivé en particulier pour que mes pieds soient blessés. Cela est très inconfortable et impacte tout mon corps qui se retrouve raidi par la difficulté de marcher. Je me sens vieille et ça m’inquiète. Bref, c’est difficile pour l’égo qui doit ralentir par cet envahissement.
Je confesse que ce genre de malaise est arrivé plusieurs fois dans le passé et cela a abîmé mon chemin de vie. Je me souviens que cela remonte à l’enfance et rendait ma mère inquiète qui ne savait pas quoi faire sauf aller cogner aux portes des médecins pour entendre que je n’avais rien ou que c’est le résultat de l’angoisse ou ceci ou cela. Un diagnostic qui vient toujours avec une médication qui ne fait rien. En grandissant, cela devenait très angoissant d’être seule dans ces douleurs qui ne se règlent pas même avec les consultations chez les médecins qui s’accumulaient plus tard, vous l’aurez compris chez les psychiatres. Et cela a dégénéré dans la nuit noire de l’âme, la dépression jusqu’à la psychose puisque rien ne pouvait apaiser les douleurs qui restaient sans réponse. La mort semblait souvent la seule porte de sortie, mais intuitivement, cela ne me semblait pas une issue certaine de libération.
Avec le temps, il m’a fallu comprendre que l’angoisse et tous ses dérivés dans l’abîme ne sont pas la cause, mais l’effet des douleurs intenses du corps dans lequel mon âme est prisonnière. De plus, j'ai découvert à travers les études que la maladie mentale est un puissant outil de contrôle social pour maintenir les âmes dans la matrice artificielle. Dans tous les cas, les douleurs sont invisibles au corps médical même si elles sont bien réelles et autrefois cela me plongeait dans un état d’impuissance jusqu’à l’accablement de ne trouver ni soulagement ni réponse. Un cancer aurait facilité les choses parce que c’est visible et même si c'est une maladie incurable, elle est compréhensible aux yeux de l’entourage. Bref, j'ai dû expérimenter la prison invisible et tout ce qui vient avec. Possiblement un chemin de vie moins noble visiblement, mais plus satisfaisant au final, car le potentiel libérateur est plus grand car l’égo se redresse et grandit.
Alors que faire pour la libération? C’est bien à cela que je me suis attardée dans mes études pendant toutes ces années pour que cessent ces douleurs abominables qui arrivaient à tout bout de champ sans cause apparente et qui restent invisibles et classées dans la prison de la maladie mentale. Ces douleurs du corps en particulier se présentent toujours comme des épées qui transpercent les muscles et lacèrent une région. Cela peut être des maux de ventre intenses, des maux de tête, des maux d’épaules surtout entre les omoplates, des maux de cou, dans les côtes, sur les mains, les bras, les jambes, les pieds, le dos, etc…toujours dans une région en particulier et quelquefois, c’est tout le corps qui est envahi par la douleur. Dans l’absence de réponse et d’apaisement, il devient tentant de recourir aux expédients lourdement utilisés qui ne font qu’apaiser quelques heures mais amplifient ce qui est ensuite…
En étudiant, j’ai appris l’existence des plans invisibles, des entités qui l’habitent et les plans de l'intelligence artificielle pour l'enfermement de l'humanité. J’ai aussi compris que les natures créatives que je suis comportent un potentiel de libération important dans cette époque de fin de cycle et que cette nature est encline à absorber toutes les mémoires de souffrances et ses égrégores à proximité. En prenant conscience de cela, j’ai commencé à me dissocier de ces mémoires qui se présentent par la douleur et qui sont en quelque sorte des souffrances qui ne m’appartiennent pas, mais que mon corps absorbe. Autrement dit, les pensées qui créent les douleurs ne sont pas toujours les miennes.
Aussi, j’ai pris conscience qu’il n’est pas nécessaire de comprendre le pourquoi, la cause ni la source des mémoires, cela est une perte de temps et d’énergie importante. L’important est de se concentrer à libérer les douleurs le plus rapidement possible pour revenir à l’équilibre pour ne pas se faire aspirer dans l’abîme et sortir de la prison mentale. Donc, le travail est d’apprendre à transmuter les douleurs pour qu’elles cessent ou du moins qu’elles diminuent rapidement. Cela n’est pas de la sorcellerie ni une dérive de folie, c’est une prémisse à la compréhension de notre époque où plusieurs personnes sont sensibles aux énergies de de fin de cycle et elles absorbent facilement les mémoires qui sont en train de remonter en surface et que cela nécessite un travail alchimique.
C’est certain que parfois une médication est obligée parce que le travail alchimique demande du savoir, de la volonté, de la pratique et de la maîtrise des émotions et cela n’est pas enseigné publiquement actuellement. Ça viendra par la force des choses car les découvertes en santé n'arrivent pas rapidement par les temps qui courent et on préfère collectivement l'aide à mourir plutôt que l'aide à guérir. Mais pour le moment, si les douleurs sont absolument abominables, il ne faut jamais se sentir coupable de recourir à la médication où tout autre moyen disponible, car endurer la douleur est abominable et c’est un manque d’amour de soi et avec le temps, la connaissance et la pratique, un moment donné, les médicaments ne seront plus nécessaires.
Mais pour le moment, en comprenant le changement de dimension en cours de la fin du cycle qui impacte le corps, comprendre le travail de transmutation par l’intention devient un outil de libération, autrement dit une source de paix et d’apaisement.
De plus, en prenant conscience de la nature du changement de dimension qui est un phénomène d’envergure cosmique qui augmente l’apport de lumière qui impacte directement le vivant. Cela peut aussi se nommer le phénomène de l’ascension et cela n’est pas une montée vers quelque chose, mais plutôt une descente de la lumière cosmique dans nos cellules de carbone qui s’affinent pour devenir cristallines. C’est un travail évolutif normal en quelque sorte, mais en accéléré. Dans tous les cas, cela n’est pas banal puisque toutes les mémoires psychologiques qui ont été encapsulées durant des milliers et des milliers d’années sont en train de remonter à la surface et doivent être dissoutes pour libérer la densité de l’ancienne dimension.
Donc, imaginez tout l’enfer du monde qui remonte en surface et qui doit être libéré, ce n’est pas rien! C’est un travail de titan!
C’est cela que je ressens lorsque les épées transpercent mon corps, c’est la lumière qui descend et qui fait son travail évolutif. Donc plus je possède naturellement un potentiel de libération, plus je serai impacté par le phénomène de l’ascension. C’est pour cette raison que le corps devient l'outil de travail pour la libération.
Alors, quoi faire si je vis autant d’inconfort et de douleur? Naturellement, plus je tente de rationaliser mes douleurs, plus je veux m’en éloigner, plus je les étouffe et les endors par des expédients, plus elles s’amplifient. Comme si le mouvement de rejet intensifie son emprise. Mais encore ici, je ne dois pas retenir non plus. C’est le mouvement au point zéro qui est requis.
Dans un premier temps, je dois faire une action qui semble anti naturel, car je dois intégrer la douleur dans son entièreté en l’absorbant. Je l’accueille totalement, me rappelant que toutes les mémoires qu’elles transportent ne sont pas de moi, mais appartiennent à la mémoire de l’âme psychologique planétaire qui se libère et qui remonte en surface. Comme une bulle d’air qui se libère du fond de l’océan et qui monte à la surface.
Pour la transmuter, je l’accueille, je l’absorbe, je la mange dans une respiration pour qu’elle puisse être libérée par ce mouvement. Je ne la mentalise pas, je ne m’attache pas à elle, je la laisse monter, je ne la bloque pas, je l'observe. Autrement dit, je ne m’attarde pas à savoir la source de la mémoire, je ne la dissèque pas par la psychanalyse puisqu’elle crée des états d’être qui ne sont pas moi et ça ajoute une couche de lourdeur à ce qui doit partir. Je ne cherche rien de mes anciennes vies où de mes traumatismes d’enfance et je ne mets pas en cause ma personnalité ou mes travers, autrement dit je ne me culpabilise pas et je ne cherche rien de l'extérieur non plus. Je me concentre à les transmuter dans un mouvement d’absorption en accueillant ce qui est et en laissant partir comme c’est venu, comme un nuage qui passe. Je ne cherche rien, je ne fais rien, je ne lui donne rien, je l’accueille, je la respire et je la laisse partir. Ainsi, au fur et à mesure que je fais l’exercice, les douleurs se dissolvent par la force de mon intention au point zéro, c’est-à-dire que j’enlève les charges émotionnelles qu’elles transportent en utilisant sa polarité inverse. Autrement dit je ne rejette pas et je ne retiens pas non plus ce qui est.
Le travail de transmutation doit aussi inclure la conscience de qui je suis en réalité, car je ne suis pas une mémoire, je ne suis pas un corps, je suis un corps dans une âme éthérique, je suis une émanation, je suis une vibration, je suis une source de vie. Je me détache donc de l’histoire qui retient les douleurs et les états d’être psychologiques qui ne servent pas ma paix d’esprit et l’apaisement de mon corps. L’utilisation du pardon quantique (je pardonne, je me pardonne, tout est pardonné dans tous les temps) et le EFT (emotional freedom technic) qui sont des outils efficaces pour alléger l’état d’être.
Aussi, je décrète que cette mémoire disparaisse à jamais et que mes douleurs cessent dans un mouvement de libération. Que toutes mes facultés me soient restituées pour mon bien et celui de tous.
En ces temps de fin de cycle, c’est de cette manière que je réussis à libérer les douleurs et que j’arrive à vivre le quotidien sans arrêter mes activités même si je vis plus lentement, en respectant mon rythme et celui de l’entourage au point zéro.
Pour le moment, avec les énergies qui s’intensifient au fur et à mesure que le basculement approche, cela aiguise la patience et la qualité d’endurance à la douleur. Quelques fois, je recours aux Advil ou aux Tylénol pour m’aider avec mes pieds ou toute autre partie du corps, car la pratique est quelquefois aride et les douleurs intenses. J’utilise également la nutrition, la naturopathie, l’ayurveda, la massothérapie, la kinésiologie, l’herboristerie selon ce qui est et ces outils supportent le travail de lumière en allégeant la densité du corps. C’est comme mettre du super sans-plomb dans la voiture, le moteur s’en porte mieux!
En attendant que mes pieds reviennent en force, bonne transmutation!
Josée
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