
Pour la libération, il faut réparation. La réparation dans le sens de la correction de ce qui a été brisé, blessé, enfermé, volé, violé, pillé, écrasé, caché, trahi, désacralisé, etc. Ici, je veux parler de la justice qui répare et qui ramène l’équilibre et la guérison pour la libération. Mais tant et aussi longtemps qu’il n’y a pas la lumière de la justice, la blessure reste intacte et le processus de guérison ne peut pas commencer.
La blessure ici est à tous les niveaux, au niveau individuel et au niveau collectif, au niveau physique, psychique et spirituel. Commençons par la crise plandémique où la division sociale a atteint son paroxysme. Il y a eu des blessures individuelles et des blessures collectives. Parce que les médias ont utilisé des mots qui blessent et ont largement utilisé la maladie mentale pour désigner toutes les personnes qui refusaient les mesures sanitaires. On a donc blessé la dignité humaine d’un côté par l’exclusion et l’enfermement des gens qui n’acceptent pas la tyrannie et de l’autre on a nourri la peur des « braves gens » à consentir aux mesures. Les mots choquants tels qu’édentés, complotistes, dangereux, les gens à enfermer, etc…. Tant de calomnies répandues et tant d’actions de violences partout sur la planète pour censurer une partie de la société. L’ingénierie sociale pour diviser les populations a été magnifiquement bien orchestrée partout dans le monde et continue son travail sur d’autres plans à d'autres échelles.
À la suite de cet épisode tragique, plusieurs personnes pourraient passer leur vie chez les psychologues, chez les psychiatres, chez les thérapeutes de tout acabit parce qu’on a fait douter de la personne authentique qui doutait de la situation par la psychologisation de soi et des autres. On pourrait essayer toute la vie durant de s’améliorer pour essayer de s’adapter à ce monde. Mais, rien de tout ça fonctionne et rien ne pourra guérir la blessure de la haute trahison infligée à l’humanité. Rien. La seule chose ayant le pouvoir de guérir est la justice réparatrice et j’en appelle à cette médecine.
Pour réparer la blessure du crime contre l’humanité, la blessure de la dystopie, la blessure de l’autocratie, le traumatisme infligée du patriarcat et de la dictature voilée de bienveillance, la blessure de trahison, la blessure de l’atteinte à la dignité humaine, il va falloir la justice divine ET la justice des hommes.
Et pour réaliser ce travail, il m’est apparu évident que seule c’est impossible parce que la psychologisation a ses limites. Et pour être en cohérence avec mon travail de libération, j’ai pris conscience que je dois entendre cet appel.
Alors, dans cet appel, il m’est apparu cohérent de participer au congrès de la FDDL (fondation de la défendre des droits et des libertés) du Québec en juin prochain. Parce que collectivement, on a autant besoin de réparation qu’individuellement, et parce que la guérison ne peut être complète et totale sans guérir la partie collective intérieure puisqu’elle aussi m’habite. Et parce que c’est un besoin de grandir et la guérison par la justice réparatrice s’est présentée comme une évidence.
Parce que pour qu’il y ait libération, il doit y avoir réparation. Et parce que je ne peux pas être libre seule. Car être libre seule c’est de l’enfermement déguisé.
La libération totale et complète adviendra lorsque collectivement, on aura compris à quel point la corruption systémique nuit aux institutions et nuit à la santé mentale et physique de tous les êtres humains de la terre. Ainsi, pour que la guérison advienne, la justice est l’outil de réparation pour la paix.
Cette évidence m’est apparue cette semaine et je vous le partage.
Donc à suivre et bonne semaine!
Josée
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