Conscience générative

Publié le 25 août 2024 à 11:13

Lundi soir, il y aura le conseil de Sages où une nouvelle formule sera présentée sous forme d’un direct à partir de la plateforme YouTube. L’intention de cette "chorégraphie pour l’ascension, une politique du vivre ensemble" est « d’ajouter une goutte d’eau de colibri au feu qui fait rage ».  Parce que dans la marche du monde, les événements que l’on expérimente sont d’ordre cosmique et plusieurs n’ont pas conscience que l’humanité assiste à la fin d’un monde tel qu’on le connaît et que tous et chacun contribue, qu’il soit conscient ou pas à cette bascule. Dans ce contexte, il est difficile d’y apporter une contribution signifiante à partir d’un seul colibri. Mais, étant donné la conscience générative, des milliers de colibris travaillent déjà à apporter leur goutte et c’est en ce sens que la chorégraphie se réalise et s’observe partout dans le monde.

 

En continuant dans l’Esprit de la conscience générative, la question du rapport à l’argent et au monde matériel s’est présentée et un arrêt sur la question a voulu organiser une source financière pour le projet par un abonnement ou une contribution volontaire pour ensuite redonner au suivant. Cependant, il a fallu passer les motivations du personnage "Josée" au peigne fin. Et parce qu’étant une personne normale dans le monde matériel, il est normal de vouloir réaliser un projet autonome qui permet une souveraineté financière tout en accélérant le « Shift ». C’est bien légitime. Mais cette idée est apparue telle une tâche de titan et l’exhaustivité de la comptabilité s’est présentée comme étant un moteur de découragement. Devant la lourdeur de ce désir conditionné, peut-être envahi d'entité aussi, le rapport au projet s’est précisé par le détachement du personnage et un lâcher-prise sur la reconnaissance du projet. Puisque la fin des temps est là et que l’essence du projet est d’ouvrir de nouveaux chemins, la reconnaissance doit venir d’une autre source qui est d’ordre interne, c’est-à-dire d’une reconnaissance de soi-même pour soi-même. Donc, en poursuivant dans la cohérence, il est requis de rappeler que le projet est déjà réalisé et qu’il se suffit à lui-même sans attendre quoi que ce soit du monde qui est en train de s’écrouler, en apportant avec lui la reconnaissance sous toutes ces formes. 

 

Étant donné un contexte de vie privilégié où la création est permise et autorisée sans nuire à quiconque, il est possible d’inscrire « la chorégraphie pour l’ascension, une politique du vivre ensemble » dans la création pour amener différentes formes et peut-être arriver à créer quelque chose de différent, de vivant, de vibrant et c’est en cela que la danse devient intéressante. Étant donné que, dans cette époque de fin des temps, il est très difficile de générer une richesse matérielle à partir d’un art, d’un projet quel qu’il soit, la poursuite du projet sans abonnement, sans contribution volontaire est choisie. Alors, en écoutant l’Esprit du projet, il n’est pas requis de générer de la richesse financière avec ce projet pour ainsi conserver la liberté dans la création ainsi que son essence fluide qui traverse les temps.

 

Dans cette réflexion, « la chorégraphie pour l’ascension, une politique du vivre ensemble » évolue, vibre et se laisser guider par son chef d’orchestre afin d’aller vers son essence et de manifester sa réalisation durant ce court passage sur terre. C’est en cela que "pour manifester le plus haut niveau de conscience générative", elle est un don à « La Source » qui elle, possède toutes les richesses de l’univers.  

 

 

Bonne semaine!

Josée

 

 

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Commentaires

Edith Thomas
il y a 5 mois

la politique du vivre ensemble me parle car pour s'aider en ces temps de changement il est important de s'aider les uns les autres